« Au bout de sa langue » – Une histoire érotique à découvrir en mots… et en murmures.
Il suffit parfois d’un regard dans la foule, d’un tempo partagé sur une piste de danse… pour allumer un feu difficile à éteindre.
Dans cette nouvelle érotique, la protagoniste raconte ce moment suspendu, entre attirance immédiate, audace et abandon.
Un huis clos fiévreux, dans l’intimité d’une voiture. Où chaque souffle, chaque frôlement, chaque langue devient langage.
Une histoire à lire… à corps ouvert.
_ Un avant-goût, en version écrite, de l’univers que vous retrouvez en audio dans notre application.
_ Des récits érotiques immersifs, intimes, sensuels… Pensés pour les femmes, lus à voix douce et lente, pour accompagner vos moments de plaisir, de rêve ou de solitude complice.
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Ce soir, c’est le mariage de mes amis, une fête joyeuse où tout le monde s’amuse.
La musique pulse, les rires fusent, les verres s’entrechoquent, et les corps dansent avec une légèreté contagieuse.
Je ne connais presque personne, juste quelques visages croisés au hasard.
Et puis il y a lui.
Un ami des mariés, rencontré il y a quelques minutes à peine, mais dont le regard ne me quitte pas.
Au milieu de cette foule, nos yeux se cherchent, s’accrochent. Une tension invisible crépite entre nous.
Chaque fois que je relève la tête, il est là, à m’observer. Pas un mot, pas une approche, juste cette connexion silencieuse et brûlante.
Sans réfléchir, je m’avance vers lui, mon cœur battant un peu plus vite.
Il m’accueille avec un sourire discret, et presque instinctivement, il m’invite à danser.
Nos mains se cherchent, se trouvent, et bientôt, nous sommes là, au milieu de la piste, enveloppés par la chaleur de la musique et de la foule qui semble s’effacer autour de nous.
Je sens la tension monter, chaque mouvement devient une invitation. Nos corps s’approchent, s’effleurent, un jeu de frissons et de promesses silencieuses.
Il glisse une main sur ma taille, sa peau contre la mienne est un frisson électrique. Je réponds en serrant un peu plus sa nuque, je l’attire contre moi. Je sens mes seins s’écraser sur son torse et cette sensation m’électrise.
Nos regards se croisent, lourds de ce non-dit, puis je laisse mes lèvres effleurer les siennes dans un baiser doux et lent.
La danse devient plus intime, plus sensuelle, comme si le temps ralentissait autour de nous. J’effleure ses fesses, il effleure les miennes. On oublie les gens autour. Ils sont loin.
Quand le morceau s’achève, je glisse ma main dans la sienne et, sans attendre, je le conduis hors de la salle, vers un endroit plus calme, plus à l’abri des regards.
En quittant la salle, l’air frais de la nuit nous enveloppe, mais n’apaise pas l’intensité qui crépite encore entre nous.
Je l’entraîne vers ma voiture garée un peu à l’écart, à l’abri des regards et des lumières. La porte s’ouvre avec un clic discret, et nous nous glissons à l’intérieur, sur la banquette arrière.
À peine assise, je me tourne vers lui, mes yeux cherchant les siens, brûlants de désir. Ma main remonte lentement le long de son torse, explorant le relief sous sa chemise.
Il respire un peu plus vite, ses doigts trouvent les miens. Je rapproche mon visage du sien, nos souffles se mêlent, lourds et chauds.
Sans attendre, je pose mes lèvres sur les siennes, d’abord doucement, puis avec plus de passion.
Le baiser devient vite profond, ardent, presque vorace. Ma bouche explore la sienne, nos langues dansent, s’entrelacent.
Je sens son souffle court, son sexe dur sous son pantalon, et je frissonne de le sentir contre moi. Je m’autorise à explorer, à savourer chaque contact, chaque frôlement.
Il n’y a plus rien autour, juste nous, ce moment suspendu, chargé de promesses.
Je sens ses mains glisser avec assurance, il relève doucement ma robe, découvrant ma peau nue. Son regard brûlant descend lentement, s’attarde sur chaque centimètre, comme s’il dégustait chaque détail.
Ses doigts effleurent le haut de mes cuisses, caressent l’intérieur, s’attardent là où je brûle d’envie. Sans attendre, il glisse ses mains sous ma culotte, la fait glisser lentement, puis la pousse délicatement de côté. Quelle sensation incroyable d’être à nue devant lui. Je ne connais même pas son prénom.
Je respire plus fort, le cœur qui cogne, quand il s’agenouille entre mes jambes.
Son souffle chaud effleure mon sexe, il embrasse ma peau avec une douceur presque douloureuse, puis ses lèvres s’écartent pour mieux m’engloutir.
Il commence à me lécher avec langueur et passion.
Sa langue explore chaque recoin avec une lenteur maîtrisée, presque cruelle. Il prend son temps, savoure, m’effleure puis m’appuie juste ce qu’il faut. Je perds pied. Mon dos se cambre malgré moi, ma main cherche ses cheveux, s’y agrippe. Je le sens entier, concentré, comme s’il n’existait plus que ça : moi, son désir, ma jouissance en devenir.
Ses gestes sont précis, rythmés, enveloppants. Il joue avec la pointe de sa langue comme avec un instrument qu’il connaît parfaitement. Par moments, il s’interrompt, me regarde, et recommence plus lentement encore. Mon souffle s’accélère, se saccade, mes cuisses tremblent.
Je le sens glisser un doigt, puis deux, en moi, avec la même attention. Mon corps s’ouvre à lui sans retenue, avide de plus. Et pourtant, il ne précipite rien. Il me lit, m’écoute, ajuste.
Je n’ai plus aucune prise. Je ne contrôle plus rien, je me laisse emporter. Je le sens tout entier concentré sur ma montée, sur chaque frisson qui me traverse. Il n’y a plus de fête, plus de monde, plus de voiture, seulement cette onde qui enfle, me traverse et me consume.
Alors je commence à bouger lentement, un léger va-et-vient, pour venir chercher ses doigts plus profondément. Je veux sentir chaque centimètre de lui en moi, le guider, l’accompagner, lui montrer à quel point mon corps répond.
Et lui, en bas, redouble d’attention. Sa langue ne s’arrête plus, elle alterne les cercles lents et les pressions plus directes, m’amenant au bord, puis me retenant juste avant la chute. Sa langue me pénètre puis revient me lécher.
Je gémis, doucement d’abord, puis plus fort. Mes hanches prennent le rythme, en quête de plus, toujours plus. Ses doigts s’accordent à mes mouvements, précis, présents, puissants. Et sa bouche… sa bouche est une promesse tenue. Une offrande. Il me dévore sans retenue, sans relâche, avec une gourmandise brute et tendre à la fois.
Je sens mon ventre se contracter, des vagues de chaleur me traversent, remontent jusqu’à ma gorge. Je suis là, à moitié nue sur cette banquette arrière, offerte, brûlante, et je sens que je bascule.
Chaque coup de langue, chaque frémissement m’emporte un peu plus loin. Je ne pense plus, je suis sensation pure.
Et lui continue. Sans relâcher, sans hésiter. Il veut me faire éclater. Il veut m’emmener jusqu’au bout. Et moi, je suis prête à m’y perdre.
Je laisse glisser ma main entre mes cuisses, à la rencontre de ses doigts en moi. Mes hanches bougent d’elles-mêmes, un léger va-et-vient qui vient chercher plus de lui, plus profond, plus ancré. Je gémis doucement, incapable de me contenir.
Ses yeux remontent vers moi, brillants d’envie. Il retire lentement ses doigts de moi, les porte à ses lèvres, puis me les tend. Sans hésiter, je les prends dans ma bouche. Je me goûte, le regard planté dans le sien, et je sens sa respiration s’alourdir.
Son visage revient entre mes cuisses. Sa langue reprend son œuvre, plus insistante, plus affamée. Il me lèche avec une intensité nouvelle, comme s’il voulait me posséder uniquement par ce contact. Ses mains glissent sous mes fesses pour m’ancrer à lui, et je me cambre pour m’offrir entièrement.
Je continue à me toucher, en rythme avec sa langue. Il me suit, m’accompagne, devine mes besoins avec une précision troublante. Il aide ma main à aller plus loin. Puis ses doigts reviennent se planter en moi. Chaque frémissement, chaque soupir semble l’encourager à aller plus loin, plus profond, plus lent… ou plus rapide. Nos doigts se croisent en moi et j’accélère la cadence pendant que mon clitoris s’écrase contre sa langue.
Je me perds dans cette tension, cette montée. Mon ventre se serre, mes jambes se tendent, et je sens que je glisse, que je vais tomber, exploser entre ses lèvres.
Et lui, il ne lâche rien.
Ses mains glissent de mes cuisses à mes hanches, puis remontent lentement. Il attrape le tissu de ma robe et, sans un mot, la fait passer au-dessus de ma tête. Je me retrouve entièrement nue sur la banquette arrière, haletante, offerte.
Il me regarde comme on admire une œuvre d’art. Puis il se penche vers ma poitrine, embrasse doucement la courbe d’un sein, puis l’autre, y pose sa langue, y laisse ses lèvres s’attarder. Il les lèche, les aspire avec une lenteur exquise, presque dévotionnelle. Je frémis à chaque passage de sa bouche.
Je me redresse un peu, glisse mes mains sous mes seins, les presse l’un contre l’autre, puis les embrasse moi aussi. Mes lèvres glissent sur ma propre peau, je goûte la trace humide qu’il y a laissée. Il me regarde faire, fasciné.
Mais très vite, son envie le ramène entre mes jambes. Il se glisse de nouveau entre mes cuisses, écarte doucement mes lèvres avec ses doigts, et recommence à me lécher, plus profondément cette fois. Sa langue s’enroule, s’écrase, m’engloutit. Sa bouche boit mon plaisir sans retenue.
Je suis totalement offerte, ouverte, exposée à son désir. Une main sur ma poitrine, l’autre sur son crâne, je le garde contre moi. Je l’écrase même contre moi. Je veux qu’il continue. Qu’il m’emmène plus loin encore.
Puis, sans prévenir, il passe ses bras sous mes jambes, les soulève, les écarte plus largement, et m’enlace fermement. Je suis prise dans sa prise, offerte, tenue, incapable de fuir cette vague qu’il prépare. Son regard croise le mien une seconde, silencieux, brûlant, puis il replonge entre mes jambes.
Sa langue devient plus pressante, plus affirmée. Il lèche profondément, lentement, en remontant jusqu’au point précis où tout explose. Je tente de bouger mes hanches, de contrôler le rythme, mais il me tient. Il me bloque, littéralement, et guide chaque soubresaut avec la force tranquille de son emprise. Il m’impose son tempo, et c’est délicieux.
J’étouffe un cri, mes mains s’agrippent à ses bras, à ses cheveux. Il me pousse à rester là, exactement là, suspendue à ce plaisir qu’il décuple à chaque aller-retour. Il glisse de nouveau deux doigts en moi, me pénètre avec lenteur pendant qu’il suce avec ardeur, et je me tords, soumise à cette jouissance qui me submerge, irrésistible.
Je sens chaque vibration de sa langue qui dessine des cercles précis, chaque caresse sur mon clitoris, qui s’intensifie doucement, comme une douce tempête qui s’installe en moi. Sa bouche est là, insatiable, explorant, dévorant avec une patience infinie. Sa langue entre en moi et ressort avec la même fermeté.
Mes mains se crispent sur ses cheveux, mon souffle s’accélère, devient saccadé. Mon corps tout entier se tend, vibrant au rythme de cette délicieuse torture.
Je ferme les yeux, laissant cette sensation m’envahir, chaque coup de langue me pousse un peu plus loin, me fait vaciller sur le bord de l’extase.
Il ralentit juste assez pour me faire languir, puis reprend avec encore plus d’intensité, guidant mon corps dans une danse silencieuse où je ne suis plus qu’une vague de désir prête à déferler.
Mon ventre se serre, mon souffle se bloque, mes jambes tremblent et s’écartent instinctivement pour mieux s’abandonner à lui.
Et alors, soudain, tout éclate.
Un feu d’artifice de plaisir traverse chaque fibre de mon être, un spasme délicieux qui me cloue sur la banquette, haletante, brûlante, offerte.
Il ne lâche rien, sa langue continue de tracer des arabesques passionnées, prolongeant cette extase jusqu’à ce que mes sens explosent en une cascade de frissons.
Quand je reviens enfin à moi, haletante, il relève la tête, ses yeux plongés dans les miens, un sourire tendre et victorieux aux lèvres.
Je ne dis rien, juste un souffle : merci.
Et lui, avec douceur, m’attire contre lui, comme si le monde autour n’avait plus d’importance.